Qu'ils sont loins les pièges à vent de ma jeunesse....
Se retrouver en un tel lieu, ou les breuvages coulent à flot, quelle émotion, teintée de malaise pour un vieux fremen, tel que moi.
En entrant ici, j'ai failli manquer à toute discipline et me ruer sur les précieuses goutelettes échapées de vos verres ruisselants.
Mais nous savons nous tenir, et vous n'aurez pas à vous plaindre de ma présence.
Quel plaisir donc de quitter mon distille, et de m'abreuver directement à ce que votre usage appelle verre. Que votre eau a un drole de gout, ou plutot aucun.
Mais, ces verres sont si grands et suffiraient largement pour une semaine de traversée du Tanzerouft.
A votre santé donc, amis Atréides.
Un petit coup d'épice ?
Pourquoi pas....
Huquet